Le défi: Les tuteurs ne veulent pas que leurs filles parlent publiquement de la violence sexiste, et surtout s’il expose ou implique leur famille
La solution: Ceci n'est pas un défi facile à aborder. La peur de la honte ou le démontage de l'unité familiale empêchent de nombreuses survivantes et leurs proches de parler. Intégrer les tuteurs aux formations, aux ateliers et aux discussions si possibles. Offrir des services de soutien aux tuteurs qui pourraient être des survivantes de la violence sexiste elles-mêmes. Pensez à faire des visites à domicile si les tuteurs sont réticents de permettre aux filles de participer. Considérer l'opinion des tuteurs et réitérer que les avantages de l'éducation des filles sur la VS sont profond et incommensurable.